pour edon, edout, edoc'h etc ...
Pas très surprenant quand on se rappelle la tendance du son v intervocalique à disparaitre allègrement en breton, quel que soit le dialecte.
On prononce d'une manière proche quelque part en Vannetais, je crois (eidin, eidoc'h ...)
Cela montre encore une fois la distance qui sépare le léonard populaire de la norme que sa forme soignée aurait inspirée.
Par contre je trouve surprenant qu'il n'y ait pas un reste de i ([j] ou [i]) pour différencier la prononciation de la forme du verbe être "edo" (edon, edoc'h, etc...)