Non c'est très bien les mutations !
Surtout les mutations exceptionnelles. Parce que la mutation adoucissante après les noms de personnes pluriels ne finissant pas par "où", à peu près tout le monde connaît, idem de l'usage des mutations mixtes, spirantes...
Les vrais points à approfondir sont par exemple : les mutations adoucissantes après les duels masculins, mutation de "pask" différente selon le jour de la semaine le précédant, mutation adoucissante sur seulement quelques lettres après "sant", "mintin" subissant la mutation adoucissante après un jour de semaine, mutations de "bloaz", mutation adoucissante des nombres commençant par un T ou un P lorsque celui-ci indique un jour, les mutations adoucissantes non écrites en peurunvan mais qui doivent être faites à l'oral...
Sans parler des cas spécifiques à un dialecte "an niaoul" pour "an diaoul" par exemple ou non mutation du D en Z après "da" en Haute-Cornouaille.
Nice, isn't it ?
P.S.: ça serait sympa que nos béliers nous fassent part de toutes les cas particuliers, car rares sont ceux qui soient signalés ici ou là.