Cliniquement, le breton est sauvé.
Si la situation reste telle qu'elle est, le breton ne mourra pas, au pire dans 150 ans il sera parlé par quelques milliers de personnes, des scientifiques, des étudiants-chercheurs, des individu-es lambdas ayant appris le breton par immersion, bilinguisme ou tout simplement avec des méthodes, des auteurs, des musiciens, chanteurs, compositeurs, etc.
Et il y aura toujours des festoù-noz, des chansons, etc.
Il y aura toujours une culture basse-bretonne, qui sera répendue dans le monde entier mais probablement partagée par moins de monde et de façon plus occasionnelle et exeptionnelle.